Résumé : Merlin se retrouve à la plage, mais en Angleterre ! Un pays où été rime avec frisquet et où il pleut des hallebardes (in english, it's raining cats and dogs, et on dira après ça que ces gens aiment les bêtes..). De plus, les auteurs n'ont pas pour ambition d'exhiler de belles nanas sur du sable fin. Non, ils désirent simplement apporter une contribution modeste mais essentielle à un point d'histoire trop longtemps éludé : comment un petit anglais, little Merlin himself, un cochon (salut Jambon !) et un ogre (salut Tartine !) ont pu mettre une sévère pâtée à Guillaume le conquérant et à sa floppée d'affreux venus de France. Pourtant, tout commence bien pour le Bâtard et ses troupes qui appliquent la recette habituelle : on avance, on coupe les têtes et on les balance derrière pour dégager le passage ! Un bel exemple de jeu collectif qui a fait recette sur différents gazons au cours des siècles suivants ! Hélas pour Guillaume, Merlin et ses deux potes qui taquinent le poisson au lancé-posé (traquer le crabe au lance-pierres s'étant révélé trop dangereux pour les bijoux de famille) vont bouleverser ses plans. Heureusement pour Albion ! Car entre le bon roi Harold dont le cheval et la tête battent gaiement la campagne et ses chevaliers aux armures grippées (vous avez essayé de faire la sieste sur une plage anglaise, vous ? Même en été, on y rouille plus vite que dans les celliers de Neptune), Guillaume aurait réussi l'invasion qui n'aboutira qu'en 1066.